COTE ALLEMAND

Le mur de l’atlantique de 1942 à 1944

Contexte historique

Un diorama

Il représente le canon K5 restauré sur le site d’Audinghen, dans le Pas de Calais.

Ce diorama est réalisé par Jean Mahieux,  

Ce canon fut récupéré au Pays Basque. Il est complet avec son générateur. A noter que la plate forme de chargement derrière la culasse est différente (double) de celle de « Léopold », (simple). Une plate forme rotative « Vögele » qui permettait d’orienter l’affût  a été rajoutée, mais qui n’existe pas sur le site d’Audinghen. Ce canon (échelle 1/350) est une  réalisation personnelle en photo-découpe, ainsi que la plateforme Vögele et les voies ferrées. Les véhicules sont des résines « l’Arsenal », très retravaillées. Les décors sont des scratchs en plâtre et divers autres matériaux.

Les futs des canons sont en laiton tourné par Patrick Thomé, aujourd’hui malheureusement disparu.

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canon SK18 de 105mm

En 1941, les inconvénients du K 18 et de ses versions antérieures avaient été reconnus mais ces matériels avaient encore leur utilité là où leur poids et leur masse représentaient une gêne tolérable, en particulier pour la défense côtière. De gros besoins face à une insuffisance de moyens se faisaient sentir pour équiper le Mur de l’Atlantique, en cours de construction à l’époque. Aussi, le K 18 fut- il affecté à ce rôle relativement statique.

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Maquette réalisée par Alain BECK

 

PANZER V « PANTHER »

Avec le débarquement des Alliés, le Generalleutnant Von Schwerin réclame l’arrivée des chars Panther. C’est le bataillon blindé de la 24. Pz.Div. : la I./Pz.Rgt. 24 qui est désigné. Formés très rapidement par des officiers confirmés qui ont connu la guerre à l’Est, les équipages tentent de repousser la 1re Armée américaine à la fin juillet 1944. Ils participent aux batailles à Beaucoudray, dans la région de Percy-en-Auge, lors de l’offensive sur Mortain puis dans l’Orne au nord d’Alençon, dans la poche de Falaise puis lors des combats d’arrière-garde vers la Seine.

Maquette PLASTIK SOLDIER au 1/72 réalisé par Thierry MAGUET

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PANZER VI « TIGER II »

Une des premières utilisations au combat du Tiger II fut par la 1re Compagnie du 503ème  lors de la Bataille de Normandie, s’opposant à Opération Atlantic entre Troarn et Demouville le 18 juillet 1944. Deux furent perdus au combat, tandis que le char du commandant de compagnie resta irrémédiablement piégé après être tombé dans un cratère de bombe créé lors de l’Opération Goodwood. Lors de la bataille de Normandie, certains Königstiger furent même engagés par des croiseurs.

Un diorama

Diorama au 1/72 réalisé par Serge CHASSIN

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Centre médical allemand

Un diorama

Diorama réalisée par Daniel Blanchard POLLETT

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Croix rouge allemande

Un diorama

triporteur TEMPO A400 . Pose et entretien du véhicule sur le front ouest.

Diorama réalisé par Jean-François MULLER

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COTE AMERICAIN

 

La bataille de Normandie

La bataille de Normandie, nom de code en anglais Operation Overlord, est l’une des grandes batailles de la Seconde Guerre mondiale sur le théâtre militaire européen. Elle se déroule entre juin et  en Normandie, et permet aux Alliés d’ouvrir un nouveau front en Europe de l’Ouest, face aux troupes du Troisième Reich. Elle débute mardi  — appelé Jour J — par le parachutage des premiers combattants à l’intérieur des terres, puis le débarquement (codé opération Neptune) d’importantes forces d’infanterie sur les plages de l’ouest du Calvados et de l’est du Cotentin. Elle s’achève entre le  (fermeture de la poche de Falaise) et le  (fin des opérations de franchissement de la Seine par l’armée allemande), simultanément avec la Libération de Paris le 25 août. 

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82e division aéroportée 

En avril 1944, la division est transportée en Angleterre en prévision de l’opération Overlord. Elle est alors constituée des 505e, 507e et 508e  régiments d’infanterie parachutée (Parachute Infantry Regiment) ainsi que du 504e  qui se reconstitue après ses pertes en Italie, du 325e régiment aéroporté (Glider Infantry Régiment), de trois bataillons d’artillerie de campagne et d’un bataillon d’artillerie antiaérienne.

Le soir du 5 juin 1944, les éclaireurs (pathfinders) de la 82e division aéroportée, équipés de balises radio et de moyens de communication, sont les premiers soldats alliés à décoller de la base de RAF North Witham puis, peu de temps après, les premiers à toucher le sol français en vue de baliser les zones de largage des deux divisions de parachutistes américains : la 82e et la 101e.

Peu après, dans la nuit du 5 au 6 juin, les 2 divisions sautent sur le flanc ouest des plages prévues du débarquement, au début de la péninsule du Cotentin. Un détachement de la 82e s’empare de Sainte-Mère-Église.

Une figurine

Figurine  réalisée par Manuel JIMENEZ

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101e Division aéroportée

Band of Brothers est inspirée de l’œuvre de l’historien Stephen E. Ambrose. Cette série retrace l’histoire des soldats de la Easy Company, du 506e régiment d’infanterie parachutée, de la 101e Division Aéroportée US (dont les membres sont connus sous le nom de « Screaming Eagles » ou « Aigles hurleurs »), de ses débuts et jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945.

Une figurine

Figurine réalisée par Parick BERNARD

Un diorama

Ces trois figurines représentent une partie de l’unité de Jake McNiece surnommé  les 13 salopards (the filthy thirteen  en Anglais). Ils ont réellement existé et arboraient la coiffure des indiens Mohawk, coiffure inauguré peu avant l’invasion de la Normandie par le chef d’unité le sergent Jake McNiece pour symboliser son appartenance Amérindienne à la tribus Choctaw de par sa mère et aussi son non conformisme.
Après la guerre de retour au pays il a raconté ses combats avec cette unité qu’il commandait. Ce récit à été édité plus tard et a servi de trame à l’écriture du scénario du film  » Les 12 Salopards  » qui est bien loin de la réalité du récit de Jake. Par exemple, il est faux que les soldats de cette unité aient été recrutés dans les prisons de l’armée Américaine, comme le suggère le film.

Diorama réalisé par Michel KERMEN

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 « Sword » BEACH

Cette plage s’étend sur 8 km de Ouistreham à Saint-Aubin-sur-Mer. C’est le point de débarquement le plus à l’est et situé à environ 15 km de Caen En raison des bancs de sable et des récifs côtiers, ainsi que l’importance des défenses allemandes à Riva-Bella, l’attaque a finalement lieu sur un front assez étroit devant Hermanville au lieu-dit la « Brèche » dans le secteur Queen. Les parachutistes britanniques de la 6e aéroportée ont préalablement détruit les batteries de Merville et tiennent déjà les ponts sur l’Orne.

Un Diorama

Diorama réalisé par Jean-Louis MAUPOINT

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En route vers Paris

Après avoir débarqué le 6 juin 1944 et combattu pour la prise du port de Cherbourg, à Avranches et à Falaise, la 4ème division d’infanterie américaine renforce la 2ème DB du général Leclerc pour libérer Paris. Le 11 septembre, elle sera la première unité alliée à pénétrer en Allemagne . Elle participera à la sanglante batataille des Ardennes. 

Un Diorama

Patrouille des éclaireurs de 4ème division d’infanterie US

Diorama réalisé par Bruno DUMUGUET

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Atelier de réparation de Harley 

La Harley-Davidson WLA est une moto fabriquée par le constructeur américain Harley-Davidson selon les spécifications de l’Armée américaine au cours de la période entourant la Seconde Guerre mondiale. Elle a principalement été utilisée par l’armée américaine et ses alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Elle était basée sur un modèle civil existant, la WL du type 45 solo, ainsi appelé en raison de la cylindrée du moteur de 45 ci (740 cm3) et de sa conception monoplace. 

Un diorama

Quelquepart en France prendant l’été 1944

Diorama réalisé par Jean-Guy COUPIN

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SHERMAN « M4 »

Cheval de bataille des armées alliées, le M4 révèle au moment de la bataille de Normandie de nombreuses faiblesses : armement principal bien adapté pour le soutien de l’infanterie mais trop faible contre les derniers chars allemands, blindage insuffisant, silhouette trop haute, facilité à prendre feu, maniabilité limitée (rayon de virage important) et pression au sol plus forte que celle de chars allemands pourtant beaucoup plus lourds (Le Sherman M4A1 pèse 27 tonnes, le Panther pèse 45 tonnes et le Tigre I 57 tonnes) ce qui le désavantage dès que le terrain devient boueux.

Mais la plupart de ces insuffisances seront progressivement éliminées — ou du moins fortement atténuées. De plus, le M4 possède de nombreuses qualités, notamment une excellente fiabilité, un rayon d’action très correct, des optiques de qualité ainsi qu’une des premières conduites de tir avec stabilisation gyroscopique (d’ailleurs peu employée par les équipages) et une vitesse de rotation de tourelle supérieure à celle des blindés allemands, ce qui permet souvent aux équipages de Sherman de tirer plus rapidement. De plus, il bénéficie de l’écrasante supériorité numérique et logistique des alliés, ainsi que leur supériorité aérienne. Il restera le fer de lance des formations blindées alliées du Front de l’Ouest jusqu’à la capitulation allemande .

Un diorama

Diorama au 1/72 réalisée par serge CHASSIN

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SHERMAN T34 « Calliope »

Il a été développé, produit en 1943 à un petit nombre d’exemplaires et utilisé principalement par la 2e division blindée américaine « Hell on Wheels » en France en août 1944.

Une maquette

Maquette réalisée par Philippe MARTIN

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Obusier M1 de 203mm

L’obusier M1 de 8 pouces (203 mm) est un canon américain utilisé par les forces armées américaines et britanniques. Il n’a été produit qu’en petites quantités et avait la réputation d’être peu précis. Il a fait partie des types d’armements très rapidement mis au point au début du conflit. Des canons de ce type furent utilisés pour bombarder Brest, assiégée en 1944. Son  poids a conduit à séparer le tube de l’affût pour déplacer la pièce. Pour cette opération, un camion-grue M2 était indispensable.

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Maquette réalisée par Alain BECK

 

La DCA américaine

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Maquette réalisée par Alain BECK

 

Chevrolet T17 « Staghound »

A l’automne 1942, l’US Army, s’inquiétant de la multiplication des projets d’automitrailleuse, désigna une commission, surnommée la Palmer Board, afin de choisir un seul modèle à retenir pour l’US Army, dans le but de faciliter la logistique. La commission, qui souhaitait privilégier les automitrailleuses légères, écarta d’emblée les modèles intermédiaires et lourds, dont les T17 Cette décision signifiait que la T17 ne serait pas utilisée par l’US Army, mais les Britanniques firent savoir de leur côté qu’ils étaient toujours intéressés par le programme et, après des essais supplémentaires pour départager les deux modèles concurrents, choisirent la T17.

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Maquette réalisée par Alain BECK

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COTE ANGLO-CANADIEN

 

« Juno » BEACH

Juno Beach est le nom de code d’une des 5 plages du débarquement allié en Normandie le  lors de la Seconde Guerre mondiale. Elle s’étend sur 8 km, entre un point à l’ouest situé à mi-parcours entre Courseulles-sur-Mer et le lieu-dit de La Rivière, hameau à l’est de Ver-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer à l’est. Elle est encadrée par Gold Beach à l’ouest et Sword Beach à l’est.

Un Diorama

Sa prise fut assignée à la 3e Division d’infanterie canadienne, assisté par la Marine royale canadienne et la Royal Navy britannique. Les objectifs de la 3e division étaient de couper l’axe routier Caen-Bayeux, capturer l’aérodrome de Carpiquet et d’établir la jonction avec les plages britanniques de Gold Beach et Sword Beach. En 2 heures, la plage a été  sécurisée.

Diorama réalisé par Vincent VITCHENIAN

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Pegasus Bridge

Pegasus Bridge (pont Pégasus) est le nom qu’a reçu, après les opérations du débarquement,  le pont de Bénouville en l’honneur des parachutistes britanniques dont le cheval ailé Pégase était l’emblème.  Il était situé sur le canal de Caen à la mer, en Normandie. Sa prise de contrôle par un coup de main des commandos britanniques, arrivés de nuit par planeurs, est un des hauts-faits du débarquement de Normandie le Jour J. L’original a été remplacé par un nouveau pont similaire mais plus long en 1994.

Un Diorama

Diorama réalisé par Stéphane ROBERT

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Bataille de Villers-Bocage

Le , Michael Wittmann brise l’offensive Perch de la 7e division blindée britannique qui venait de libérer la ville. Relativement épargnée jusqu’alors, la ville est entièrement détruite par les bombardements alliés qui suivent le retrait britannique. Les Allemands ne se retireront définitivement de la ville que le .

Un Diorama

Quelques minutes avant la contre attaque de Wittman, tout va bien …

Diorama réalisé par Vincent VITCHENIAN

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Crusader III Mk1 AA

Certaines divisions furent employées pendant l’invasion de la France pour le débarquement de Normandie mais, étant donné la supériorité aérienne des alliés, la menace aérienne allemande se révéla presque nulle, par conséquent l’utilisation de ce char d’assaut anti-aérien fut, pour ainsi dire, presque inutile.  

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Maquette réalisée par Alain BECK

 

 A27M Cruiser Tank « Cromwell » Mk IV

La 7ème DB Britannique a bousculée l’aile gauche de la Panzer-Lehr-Division et progresse vers Villers-Bocage. Le Tigre I de Wittmann, isolé, gravit la pente sud-est de la cote 213. Dans ses jumelles, Wittmann observe le déploiement des colonnes britanniques qui progressent vers Villers-Bocage. Il positionne son Tigre en embuscade dans un petit bois proche, position qui lui donne un champ de tir idéal. Sut la RN 175, roulent les blindés de la 22ème brigade blindée de la 7ème Armoured Division, des éléments de la 1re Rifle Brigade, deux escadrons de 8e Hussards et des éléments du 1er corps blindé. Le véhicule de tête est à 100mètre du char de Wittmann. Le Tigre se jette littéralement sur le blindé de tête et commence à remonter la colonne. Le canon de 88mm tonne, les obus frappent à bout portant les véhicules britanniques. Chars, motos, camions, semi-chenillés, chenillettes brûlent.

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Maquette réalisée par Alain BECK

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Centaur Mk I AA

AA pour Anti-Aircraft : Ce modèle avait une tourelle anti-aérienne de Crusader III avec 2 canons Polsten de 20 mm. Il fut déployé en Normandie, puis retiré comme inutile, du fait de la supériorité aérienne alliée. — 95 exemplaires

Maquette IBG au 1/72 réalisée par Thierry MAGUET 

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Centaur CS Mk IV

Seuls 48 Centaur débarquent le 6 juin 1944, souvent en retard par rapport aux prévisions, et ils sont peu utilisés car les Crabs et AVRE ont déjà fourni leur soutien à l’infanterie. Ils s’attaquent sans succès à un mur antichar à Langrunes-sur Mer, la munition du 95 mm n’étant pas assez puissante. Ils sont plus utiles aux commandos français en appuyant l’assaut contre le casino de Ouistreham Riva-Bella. 

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Maquette réalisée par Alain BECK

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Churchill Mk7

Le Churchill MK. VII peut être considéré comme une nouvelle version du char d’infanterie, au point qu’il est parfois désigné Churchill « lourd ». En effet, son blindage maximal passe de 102 mm à 152mm. Contrairement à ses prédécesseurs dits «composite», le Mark VII intègre une nouvelle tourelle moulée de plus grandes dimensions,

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Maquette réalisée par Alain BECK

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Les canons antichars britanniques

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Maquette réalisée par Alain BECK

 

 

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