Artilleur avec son crapouillot
Une figurine
Figurine réalisée par alain BECK
Pour en savoir plus
Attelage de canon de 75mm (1914)
Des dioramas
dioramas réalisés par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Canon de 75 mm modèle 1897 — Wikipédia (wikipedia.org)
- Le canon francais de 75 mm – YouTube
- Canon de 75mm Modèle 1897 – L’Emblématique Canon de la Première Guerre Mondiale – YouTube
DE DION BOUTON Auto-canon et auto-caisson
À partir de 1909, De Dion-Bouton motorise plusieurs modèles de voitures, camions, autobus, et avions (dont les Avions Farman…) avec son premier moteur V8 de la marque (l’un des premiers du monde, avec celui des Rolls-Royce V-8 de 1905, ou des moteurs d’avions Antoinette 8V de 1906…) avec trois puissances (4 litres de 20 ch – 6,1 litres de 35 ch – et 7,8 litres).
Des maquettes
En 1910, il y eut un véhicule qui avait reçu un Canon de 75 Modèle 1897 pour une plus grande mobilité, il y eut une version 1913 pour tirer contre les aéronefs, ballons captifs à l’époque. Les premiers exemplaires furent affectés à la défense du G.Q.G.
Diorama réalisé par Philippe FOULON
Pour les déplacements, l’auto-canon transporte 4 hommes, l’auto-caisson 6 hommes et 2 hommes prennent place dans la voiture de l’officier commandant.
Auto Caisson V8 de 1913 sur chassis de type GO pour alimenter le camion l’auto-canon de 75mm Dedion-Bouton
Auto projecteur De Dion Bouton
Maquettes réalisées par Claude BLANC
Pour en savoir plus
- De Dion-Bouton — Wikipédia (wikipedia.org)
- DCA- L’auto-canon de 75 mm (artillerie.asso.fr)
- De Dion Bouton Type GO V8 Auto Caisson | Patrimoine Automobile .Com
- DCA auto canon de 75 mm DCA en action 1914 1918 – YouTube
- Les véhicules motorisés en 14-18 | Facebook
Howitzer (obusier) 9.2 pouces
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
Tracteur d’artillerie britannique Holt 75
Une maquette
Basé sur un tracteur agricole américain de la marque HOLT et conçu pour tirer l’obusier BL8 pouces
Maquette réalisée par Claude BLANC
Pour en savoir plus
Tracteur d’artillerie austro-hongrois
Une maquette
Maquette réalisée par Claude BLANC
Pour en savoir plus
- Troupes hongroises sur le front de l’ouest pendant la Grande Guerre (openedition.org)
- La chute des Empires austro-hongrois et ottoman 1919-1920. – YouTube
Position d’un obusier de 155mm
Le calibre est né en France après sa défaite lors de la guerre franco-prussienne de 1870-1871. Un comité d’artillerie français s’est réuni le pour discuter de nouveaux modèles pour l’artillerie de siège et de forteresse d’un calibre entre 14 et 16 centimètres. Après plusieurs réunions, le 16 avril 1874, le comité décide du calibre de 15.5 cm. Le canon correspondant était le canon De Bange 155 mm.
Un diorama
Le Saint-chamond de 155mm est dérivé d’un prototype mis au point pour le Mexique. 400 ont été commandés après la bataille de l’Artois en 1915 et livrés en 1916. Des exemplaires ont été donnés en petit nombre aux armées serbe et roumaine vers 1917-1918 et d’autres ont également servis dans l’Armée finlandaise pendant la guerre d’Hiver.
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
Position turc à Galipoli (1915)
Les turcs, équipés d’uniformes et de matériels allemands, se positionnent dans les montagnes au dessus des plages où débarque le corps expéditonnaire brittanique, empêchant toute avancée pendant des mois. Les navires n’ayant pas pu traverser le détroit des Dardanelles, ce fut le grand échec de l’amiral de la flotte Winston Churchill.
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Canon à longue portée « Saint Chamond »
L’idée de départ était d’utiliser de gros canons de marines issus de cuirassés déclassés ou de leurs tubes de rechange (ici des pièces de l’artillerie principale des « Lorraine ») dans le combat terrestre. La masse des pièces imposait un transport par voie ferrée ce qui donna naissance à l’ALVF, artillerie lourde sur voie ferrée, dont la France se fit une spécialité puisqu’il y en aura plus de 250, de tous types, au front en 1918, dans des calibres allant du 16cm au 400mm…
Un diorama
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Aciéries de Saint-Chamond. Canon de 340 mm en position de tir. (imagesdefense.gouv.fr)
- Obusier de 400 | CNRS Images
Canon à longue portée « Schneider »
L’idée de départ était d’utiliser de gros canons de marines issus de cuirassés déclassés ou de leurs tubes de rechange dans le combat terrestre pour effectuer des tirs de contre batterie. La masse des pièces imposait un transport par voie ferrée ce qui donna naissance à l’ALVF, artillerie lourde sur voie ferrée, dont la France se fit une spécialité puisqu’il y en aura plus de 250, de tous types, au front en 1918, dans des calibres allant du 16cm au 400mm…
Un diorama
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Canon 320 sur rail | CNRS Images
- Canon 340 sur rail | CNRS Images
- Mise en batterie du 240 mm Batignolles | CNRS Images
Gun Carrier Supply tank (1918)
Des maquettes
En , 24 véhicules arrivèrent sur le front, mais furent finalement utilisés pour l’approvisionnement lourd des premières lignes. Pour l’attaque du 8 aout 1918 à Amiens, 22 vehicules sont alloués au corps Australien mais malheureusment 16 des vehicules ont été endommagés quand l’un d’eux explosa dans la nuit du 6 au 7 Aout près de Villers-Bretonneux.
Maquette au 1/72 réalisée par Eric GALLAUD
En théorie, le canon de campagne de 5 pouces ou l’obusier de 6 pouces pouvaient faire feu monté sur le véhicule, mais dans la pratique cela s’avéra impossible. Il fallait le décharger avec une grue pivotante assisté par deux tambours d’enroulement entraîné par le moteur. A l’avant au-dessus du châssis se trouvaient deux cabines blindées, une pour le conducteur sur la gauche, et une pour le freineur sur la droite.
Maquette au 1/72 réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Gun Carrier Mark I — Wikipédia
- Gun Carrier, Mk.I (1917) (tanks-encyclopedia.com)
- Gun Carrier Mark I – YouTube
canon automouvant 194 GPF (1918)
Maquette au 1/72 réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
