Contexte historique
- Histoire du char d’assaut — Wikipédia
- il y a 100 ans, les tanks débarquaient sur le champ de bataille (france24.com)
- Prototypes et chars atypiques de la Première Guerre mondiale – Theatrum Belli
- HistoriaGames – Histoire – L’engagement des premiers chars dans la bataille de la Somme
- Accueil (chars-francais.net)
Mark 1 (Septembre 1916)
Une maquette
La première utilisation au combat du Mark I fut effectuée lors de la bataille de la Somme le 15 septembre 1916, par 49 engins. L’attaque se fit souvent de manière confuse, et nombre d’entre eux tombèrent en panne ou furent détruits par l’artillerie allemande.
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
Schneider (1917)
Des dioramas
Bien que destinés à l’origine aux actions de rupture, leur vulnérabilité fit qu’ils servirent à l’accompagnement de l’infanterie, de conserve avec les chars légers Renault entrés en service en 1918.
Diorama réalisé par Jean-Michael LEROUX
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- 1916 CHAR SCHNEIDER CA-1 (chars-francais.net)
- Char Schneider le 19 janvier 2017 – YouTube
- Schneider CA1 (1916) Quick Walkaround – WW1 – Saumur – YouTube
- Monument national des chars d’Assaut de Berry-au-Bac | Chemin des Dames
Saint Chamond (1917-1918)
Des maquettes
Étudié par le colonel Rimailho, ce nouveau véhicule présentait d’indéniables avantages par rapport au Schneider : plus long (avec une augmentation de poids initiale d’un tiers seulement), il avait des qualités de protection bien supérieures mais se révéla peu performant en tout-terrain du fait de l’important porte-à-faux de sa caisse. Son armement était plus puissant : un 75 mm de campagne placé à l’avant et tirant dans l’axe, quatre mitrailleuses, avec seulement deux hommes d’équipage en plus. Ses dimensions offraient un espace plus spacieux que le Schneider avec une meilleure visibilité.
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Maquette réalisée par thierry BECQUART
Pour en savoir plus
- Saint-Chamond (char) — Wikipédia (wikipedia.org)
- 1916 CHAR SAINT-CHAMOND (chars-francais.net)
- Char Saint Chamond – YouTube
Mk IV (novembre 1917)
Des maquettes
Lors de la bataille de Cambrai, en novembre 1917, les britanniques utilisent, en masse et pour la première fois, ces chars d’assaut
Diorama réalisé par Gilles THOMAS (Lostiznaos)
Les Allemands, n’ayant pas de chars d’assaut, récupèrent les chars alliés embourbés, pour les réutiliser à leur compte.
Maquettes réalisées par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Mark IV (char) — Wikipédia (wikipedia.org)
- les-chars-type-mark.pdf (e-monsite.com)
- Mark IV Male Bovington :Maquetland.com:
FT17 (1918)
Des dioramas
Dioramas réalisés par Alain PION
Diorama réalisé par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- 1917 RENAULT FT (chars-francais.net)
- Renault FT : Le Char de la Victoire – YouTube
- Retour du char Renault FT – YouTube
- Le Char FT17 Renault – Documentaire complet – Vidéo Dailymotion
Mark V (1917)
Un diorama
À l’origine, le Mark V devait être d’une conception entièrement nouvelle, mais lorsqu’en 1917 des moteurs et des boîtes de vitesses améliorés furent disponibles, on se contenta d’améliorer le Mark IV. Le Mark V est donc très proche de son prédécesseur, mais est équipé d’un moteur Ricardo de 150 ch, d’une direction améliorée ainsi que d’une boîte de vitesses à train épicycloïdal. Pour piloter l’engin, un seul membre d’équipage suffisait à présent. Sur le toit se trouvait une cabine blindée pour le servant de la mitrailleuse. Au total 400 véhicules de ce type furent fabriqués, dont 200 male et 200 female.
Maquette réalisé par gilles THOMAS (Lostiznaos)
Pour en savoir plus
Mark V « Queue de tétard » (1918)
Un diorama
Diorama réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
Whippet (1918)
Des dioramas
Diorama au 1/35 réalisé par Jean-Michael LEROUX
Maquette au 1/72 réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
FIAT 2000 (1918)
Une maquette
Le char d’assaut FIAT 2000 a été étudié et mis au point par le constructeur italien Fiat en 1917 mais ne sera fabriqué qu’en deux seuls exemplaires, le premier en 1917 et le second en 1918. Il a été défini comme le char possédant la conception la plus avancée de l’époque. Avec ses 40 tonnes de poids, ce sera le char le plus gros produit durant la première guerre mondiale, si l’on excepte le char prototype (deux exemplaires construits) extra lourd allemand K-Wagen-char K, de 120 tonnes.
Maquette au 1/72 réalisée par Eric GALLAUD
Pour en savoir plus
A7V (1917)
Une maquette
Maquette réalisée par Philippe FOULON
Pour en savoir plus
- Sturmpanzerwagen A7V Replique :Maquetland.com:: Le monde de la maquette
- A7V — Wikipédia
- Sturmpanzerwagen A7V – Theatrum Belli
- German Sturmpanzerwagen A7V Tank – YouTube
- A7V Replica – YouTube
- Inside the German A7V On The Road – YouTube
K-WAGEN (1918)
Une maquette
Pour en savoir plus
Pour répondre au cahier des charges, spécifiant l’invulnérabilité et une très grande puissance de feu, les concepteurs ont sacrifié la mobilité au profit du blindage et de l’armement. Le « K-wagen mesurait 13m de long pour un poids de 120 tonnes. Il était équipé de deux moteurs, pouvait franchir des tranchées de six mètres de large et parcourir 25 kms. L’armement était composé de quatre canons de 77mm en gondole et de six mitrailleuses, l’équipage, lui, est composé de 22 personnes.
Le « K-wagen n’est jamais entré en service . Deux appareils étaient en construction, à Berlin, au moment de l’armistice.
MENDELEEV
Une maquette
Pour en savoir plus
Le char super lourd, mis au point par Mendeleev, est l’un des projets les plus élaborés de chars super lourds de la Première Guerre mondiale, si l’on ne prend pas en compte le K-Wagen allemand, pratiquement construit en 1918.
Vasily Mendeleev, ingénieur en construction navale, estimait que le char devait être un «cuirassé de guerre». Il a donc utilisé un certain nombre de solutions, utilisées en construction navale, dans ce projet.
- Dans la partie avant de la coque, l’épaisseur du blindage était de 150 mm, sur les côtés et à l’arrière de 100 mm.
- Le canon Kane 120-mm avec masque plat mobile aurait dû être installé à l’avant de la coque, sur un pied ayant une structure similaire à celle d’un navire.
- Le moteur développait une puissance du 250cv et son utilisation, sur une machine supérieure à 170 tonnes, semblait être très optimiste.
- 8 hommes étaient nécessaires pour le faire fonctionner, ce qui n’est pas excessif compte tenu de sa taille.
Le département militaire, surchargé de travail et devant l’ampleur de la taille du projet , n’a pas donné suite.